Voilà, comme promis, vous découvrez ici en exclusivité ce que j'ai découvert en Afrique pour le CNRS. Oui c'est dingue, mais cela prouve bien que l'Afrique recèle des surprises !
mardi 13 octobre 2009
Decouverte hallucinante en Afrique
Voilà, comme promis, vous découvrez ici en exclusivité ce que j'ai découvert en Afrique pour le CNRS. Oui c'est dingue, mais cela prouve bien que l'Afrique recèle des surprises !
jeudi 10 septembre 2009
Une découverte très suprenante, je crois que oui...
Non je ne crois pas avoir rêvé quand je vous dévoile ces images, ce que nous avons vu avec les gardes forestiers sans trop s'approcher est terriblement angoissant. Des bruits sourds, des tremblements, des bruits de feuillages arrachés ou goulument ingérées, les photos sont pas assez nettes pour que je vous dise avec précision ce que c"était. Mais pour mes amis africains c'est désormais l'esprit de la fôret, un esprit sacré et une jungle impenetrable qui rend la communication difficile. J'ai immédiatement envoyé cette information à mes collègues en France, à eux d'authentifier cela.
mercredi 26 août 2009
Rencontres innatendues
Depuis le temps, on fait des rencontres, ici dans le dernier village, quelques maigres dollars ont servi à mes deux guides pour m'accompagner dans le but ultime de mon voyage et comprendre l'origine des cris bizzares, que eux appelle l'esprit de la forêt. Rarement ils ne s'aventurent au delà de leur parcelles de brulis ou quelques maigres cultures poussent ici et là. J'ai longuement discuté extenué par la chaleur, la moiteur et les douleurs de mes pieds rongés par l'humidité avec eux de ces cris, de ces odeurs, de cette terre qui tremble, de ce que j'ai ressenti. Non je n'ai pas halluciné, pour eux je suis bien le premier blanc qui partage leur peur commune.
J'ai demandé donc au chef du village, cette structure clanique, de bien vouloir me donner deux gars costaud avec des machettes pour pousser l'exploration, seul serait bien dangereux. C'est ainsi que demain, je reprendrais la route vers les coordonnées GPS que j'ai enregistré dans ma course folle.
mardi 25 août 2009
vendredi 21 août 2009
Tout d'abord, désolé de vous avoir fait attendre autant pour la publication de ce nouvel article. Je tiens à rassurer ma famille qui était dans l'inquiétude. J'ai été obligé de rapatrier mon collègue qui va beaucoup mieux. Donc, pas de soucis, exceptés ceux du quotidien qui devient de plus en plus rude, à savoir, nourriture infecte, conditions climatiques désastreuses, solitude qui se fait ressentir et difficultés pour moi de trouver un relais satellite pour vous écrire.
Le fait est que ma recherche a fait un grand bond en avant, je savais qu'il fallait persévérer. Laissez moi vous expliquer, Il y a quatre jours de cela, alors que je tentais d'établir un camp de fortune, j'ai entendu un grognement assez lointain et caverneux, ressemblant à rien que j'étais susceptible de connaître. Le son provenant de l'est de mon campement, je me suis jeté sur mon appareil, et j'ai courut à travers la forêt, comme un forcené, j'étais comme possédé, mon but était proche, et je comptais pas le laisser filer. Plus je marchais, plus l'inquiétude montait en moi, ce son que j'avais entendu , il n'était pas humain, il était pas non plus animal, sur quoi allais- je tomber? J'étais seul, fatigué, et me jetait peut- être vers un danger auquel je n'étais pas préparé. Mais plus rien, après une heure de marche, j'étais dans la jungle, seul , plus aucun son , pas l'ombre d'une branche qui bouge. Je me suis dit, mon pauvre , te voilà pris d'hallucinations, avec la fatigue, l'environnement hostile, c'est assez courant, mais j'ai quand même continué, quand un bruit de pas titanesque fit bouger le sol sous mes pieds, un bruissement d'herbes, aussi puissant qu'une rafale, me sortit de ma torpeur, il y avait quelque chose c'était certain, et c'est la que je vis une ombre informe , gigantesque. Mon sang n'a fait qu'un tour j'ai fait demi tour et suis partit en courant , j'ai réussit dans un moment de lucidité à prendre une photo , mais qui hélas ne rend rien, je vous la met quand même.
Prochaine mission, revenir avec un guide expérimenté pour en savoir plus. Je suis tellement excité et effrayé par ce que je peux découvrir...
Prochaine mission, revenir avec un guide expérimenté pour en savoir plus. Je suis tellement excité et effrayé par ce que je peux découvrir...
jeudi 23 juillet 2009
Deux semaines ont passé, nos corps ont souffert depuis que nous avons enfin repris la route, mon co-equipier est tombé malade, tuile sur tuile, 500$ de backchich mais désormais une couverture en cas de coup dur. Nous voilà donc au nord de Cassane, selon nos GPS, à plus de 50km à vol d’oiseau de toute vie humaine, seul la pluie qui tombe en verse en fin de journée écrase cette chaleur et rafraichit nos corps, le matériel étant solidement protégé, mais lui aussi encaisse les aléas climatique, nous obligeant à jongler avec les batteries et les mémoires. Si ca se trouve, le bon vieux leica de mon père, pellicule et sans batterie va ressortir de sa cachette avec cette météo exécrable, lui au moins ne craint rien. La vie en jungle avec des gens du cru rend la recherche agréable et le quotidien alimentaire devient lui aussi une leçon de biologie. Au menu ces derniers jours, du singe, de l’oktapi, de l’araignée, du serpent, des insectes et un délicieux oiseau ayant le goût du pigeon de chez nous. L’Immarsat ayant de plus en plus de mal à se recharger, nous allons être économe et nous vous envoy que ces quelques lignes pour venir tenir au courant. Mais selon nous, nous touchons au but et les prochaines semaines devraient être décisives.
vendredi 17 juillet 2009
17 jours 17 nuits étranges
Depuis notre dernier point, nous avons fait des rencontres insolites qui ne prête pas à sourire et nous voilà expulsé de la zone ou nous étions, un vaste triangle entre Lisiano, Metelela et Cassane.
Notre destination était Cassane, pour faire un point et pousser un peu au nord de cette réserve biologique méconnue, que nous connaissons mal et qui a nos yeux va receler des surprises. Nous voici donc bloque à Metelela, une kalachnikov sous le nez et des soldats plus pressés de nous extorquer des dollars que de vérifier nos autorisations de trekking et de recherche. C’est ca aussi l’aventure africaine, l’imprévu est un passage obligé et les aléas sont nombreux. Si nous réussissons à nous extirper de cette situation sans perdre trop de temps, nous allons remonter en pick up vers Cassane et continuer vers le nord de la zone de recherche.
D’ici là, j’ai réussi à convaincre un brave gars moyennant quelques dollars de descendre nos échantillons vers Lichinga. De Lichinga, une société de transport devrait les convoyer vers un laboratoire d’Afrique du Sud pour savoir quel est cette chose dont nous vous parlions la dernière fois. Je ne saurais vous le décrire, mais dans une eau saumâtre, des vers bizarres d’une forme conchydale se muant de la plus étrange façon qu’il soit, en tout cas, rien qui soit repertorié dans nos savoirs de biologique et de vie primitive. Ce vert bouge sans arrêt et grossi à vue d’œil, nous avons du changer à trois fois de récipient depuis que nous l’avons extrait de son milieu, forme subaquatique et surnaturel. Décidement il se passe des choses ici…
Le soleil commence à redescendre après avoir cuit nos corps, mon co-équiper palit à vue d’œil, pourvu qu’il m’est pas contracté un palu, il manquerait plus que ca
D’ici là, j’ai réussi à convaincre un brave gars moyennant quelques dollars de descendre nos échantillons vers Lichinga. De Lichinga, une société de transport devrait les convoyer vers un laboratoire d’Afrique du Sud pour savoir quel est cette chose dont nous vous parlions la dernière fois. Je ne saurais vous le décrire, mais dans une eau saumâtre, des vers bizarres d’une forme conchydale se muant de la plus étrange façon qu’il soit, en tout cas, rien qui soit repertorié dans nos savoirs de biologique et de vie primitive. Ce vert bouge sans arrêt et grossi à vue d’œil, nous avons du changer à trois fois de récipient depuis que nous l’avons extrait de son milieu, forme subaquatique et surnaturel. Décidement il se passe des choses ici…
Le soleil commence à redescendre après avoir cuit nos corps, mon co-équiper palit à vue d’œil, pourvu qu’il m’est pas contracté un palu, il manquerait plus que ca
mardi 30 juin 2009
Depuis notre dernier point, nous avons fait des rencontres insolites qui ne prete pas à sourire et nous voilà expulsé de la zone ou nous étions, un vaste triangle entre Lisiano, Metelela et Cassane.
Notre destination était Cassane, pour faire un point et pousser un peu au nord de cette réserve biologique méconnue, que nous connaissons mal et qui a nos yeux va receler des surprises. Nous voici donc bloque à Metelela, une kalachnikov sous le nez et des soldats plus pressés de nous extorquer des dollars que de vérifier nos autorisations de trekking et de recherche. C’est ca aussi l’aventure africaine, l’imprévu est un passage obligé et les aléas sont nombreux. Si nous réussissons à nous extirper de cette situation sans perdre trop de temps, nous allons remonter en pick up vers Cassane et continuer vers le nord de la zone de recherche.
D’ici là, j’ai réussi à convaincre un brave gars moyennant quelques dollars de descendre nos échantillons vers Lichinga. De Lichinga, une société de transport devrait les convoyer vers un laboratoire d’Afrique du Sud pour savoir quel est cette chose dont nous vous parlions la dernière fois. Je ne saurais vous le décrire, mais dans une eau saumâtre, des vers bizarres d’une forme conchydale se muant de la plus étrange façon qu’il soit, en tout cas, rien qui soit repertorié dans nos savoirs de biologique et de vie primitive. Ce vert bouge sans arrêt et grossi à vue d’œil, nous avons du changer à trois fois de récipient depuis que nous l’avons extrait de son milieu, forme subaquatique et surnaturel. Décidement il se passe des choses ici…
Le soleil commence à redescendre après avoir cuit nos corps, mon co-équiper palit à vue d’œil, pourvu qu’il m’est pas contracté un palu, il manquerait plus que ca
vendredi 19 juin 2009
On avance
Voilà quelques jours que nous crapahutons dans cette jungle épaisse, humide. Depuis que nous avons quitté Maputto et mis le cap plein nord vers la Tanzanie, nous avons quitté les mangroves du centre, pour aller vers cette région des grands lacs.
Dans la jungle, l'écosystème est y riche, dense, incroyable de mutations, de variantes, de survie, comme si chaque chose que nous étudions pour le projet était une inconnue a multiples variantes.
Accompagne de notre guide, relié par notre immarsat, nous sommes perdus dans un vaste territoire de 70 km2 complètement inconnu, peu ou mal cartographié consistant en une forêt primaire. Jusqu'a présent, nous pensions tout connaitre de la foret primaire, de ses mécanismes, de sa prolifération, mais celle ci est nouvelle pour moi en tout cas, car rien ne se passe comme prévu. Chaque jour nous avons rencontré des especes différentes, des arachnoïdes gros comme un poing, des animaux comme mutés par une force de survie. Tout ceci est étrange, comme si nous avions une nouvelle mantra qui nous pousse à aller de l'avant...
Pas un humain rencontré depuis des jours, juste le retour à la vie sauvage. Seul l'ordinateur éclaire nos visages blêmes et bouffis par une chaleur étouffante, qui sait ce que nous trouverons d'ici là...
Les batteries solaires se vident, nous ferons un prochain point rapidement, dès que les analyses auront parlé, nous avons commence a trouver des choses pour le moins étranges...
Accompagne de notre guide, relié par notre immarsat, nous sommes perdus dans un vaste territoire de 70 km2 complètement inconnu, peu ou mal cartographié consistant en une forêt primaire. Jusqu'a présent, nous pensions tout connaitre de la foret primaire, de ses mécanismes, de sa prolifération, mais celle ci est nouvelle pour moi en tout cas, car rien ne se passe comme prévu. Chaque jour nous avons rencontré des especes différentes, des arachnoïdes gros comme un poing, des animaux comme mutés par une force de survie. Tout ceci est étrange, comme si nous avions une nouvelle mantra qui nous pousse à aller de l'avant...
Pas un humain rencontré depuis des jours, juste le retour à la vie sauvage. Seul l'ordinateur éclaire nos visages blêmes et bouffis par une chaleur étouffante, qui sait ce que nous trouverons d'ici là...
Les batteries solaires se vident, nous ferons un prochain point rapidement, dès que les analyses auront parlé, nous avons commence a trouver des choses pour le moins étranges...
jeudi 4 juin 2009
Il pleut, il pleut et il pleut encore. Donc, rien de bien génial à vous raconter, les routes sont coupées par endroit, il y à même quelques glissements de terrains. … Enfin, c’est un peu la merde quoi!
Du coup, on peut pas faire grand-chose. On a investit dans un super convertisseur de courant, qui passe par l’allume cigare et nous permet de recharger l’ordi et tout le bazar électronique qu’on trimballe.
Notre expédition
En 2005, des scientifiques anglais cherchaient sur Google Earth un lieu où mener un projet de conservation d’espèces au Mozambique. Ils y ont trouvé par hasard une forêt de 70 km2 qui n’était répertoriée nulle part.
Des scientifiques de pays différents ont effectués en Novembre 2008 une expédition pour voir ce qu’il en était et on trouvé plusieurs nouvelles espèces d’animaux, de plantes, d’insectes, des espèces que l’on croyait disparues et ont surtout trouvé une terre dépourvue d’activité humaine … pour l’instant !
Notre expédition a pour but d'étudier cet écosystème inédit et de chercher de nouvelles formes de vie inconnues.
Des scientifiques de pays différents ont effectués en Novembre 2008 une expédition pour voir ce qu’il en était et on trouvé plusieurs nouvelles espèces d’animaux, de plantes, d’insectes, des espèces que l’on croyait disparues et ont surtout trouvé une terre dépourvue d’activité humaine … pour l’instant !
Notre expédition a pour but d'étudier cet écosystème inédit et de chercher de nouvelles formes de vie inconnues.
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